Notre parole

Ressources / Enfance & adolescence

 

Enfance, adolescence, jeunesse & cie, des sujets.pour lesquels vous trouverez ici ressources et compléments d'information et d'analyses.

 

 

FILMS/ DVD

 

Chaque cinéaste a sa part de films consacrés à l’enfance. Ici, quelques titres, des morceaux choisis par Le monde est ailleurs parmi nos préférés, dont certains que nous avions déjà identifiés avec Léo-Bonneville, ex-directeur de la revue de cinéma Séquences; des films qui donnent une bonne idée du portrait de la pédiatrie, de l'enfance et de ses familles.

 

L' ENFANCE, L'ABANDON, LA CIRCULATION, L'INSTITUTIONNALISATION, L'ADOPTION

 

PHILOMEMA de Stephen Fears, Grande-Bretagne, 2013, 99 m.

Une histoire de reconstruction, avec Philoména, une femme modeste, à la recherche de son fils donné en adoption sous une cruelle contrainte.  

Un bon film. JFC

 

L’ENFANT D’EN HAUT de Ursula Meier, France,2012, 97 m.

Simon, 12 ans, fait le va et vient entre le bas, un HLM qu’il partage avec sa sœur, et le haut, une station ski ensoleillé où il vole skis, mitaines et lunettes des touristes.  

Un très bon film. JFC

REBELLE de Kim Nguyen, Québec, 2012, 90m

Une fillette-soldat, l’horreur, et des bonheurs qui la rattrapent

Un très bon film. JFC

 

MOONRISE KINGDOM de Wes Anderson, États-Unis, 2012, 94 m

Un orphelin s’échappe d’un camp scout insulaire pour retrouver sa jeune amoureuse  tandis que s’abattent embuches et cataclysmes

Un très bon film. JFC

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

BREATHING (ATMEN) de Karl Markovics, Autriche, 2011, 94 min.

Roman Kogler, le jeune prisonnier d’un centre de détention juvénile, a été élevé en orphelinat. Il est actuellement en probation et travaille dans une morgue de Vienne où, un jour, il croit reconnaitre sa mère de naissance parmi les défunts.

Un bon film. JFC

 

LE GAMIN AU VÉLO de Luc & Jean-Pierre Dardenne, Belgique, 2011, 85m.

Un enfant  abandonné par son père en centre d’accueil amorce des liens significatifs avec une tutrice capable d’amour inconditionnel.

Un très bon film. JFC


COULEUR DE PEAU MIEL de Laurent Boileau et Jung, France/Belgique, 2011, 75 m

Le bédéiste Jung, belge d’origine coréenne, se remémore ses blessures et traumatismes préadoptifs et postadoptifs.

Un bon film. JFC


10 ½ Daniel Grou (Podz), Québec, 2010, 108 m.

Tommy, un jeune garçon de dix ans et demi, est arrêté puis placé dans un centre de réhabilitation pour jeunes délinquants. Avec d'autres jeunes de son âge aux prises avec de graves problèmes de comportement, il devra apprendre à vivre en société en accord avec l'autorité

Un bon film. JFC

 

JE SUIS HEUREUX QUE MA MERE SOIT VIVANTE de Claude et Nathan Miller, France 2009, 90 m.

Thomas s’immisce dans la vie de sa mère biologique qu’il vient de retrouver, mais les conséquences de ses retrouvailles seront majeures.

Un très bon film.JFC


L’ORPHELINAT de Juan Antonio Banoya, Espagne/Mexique, 2007, 110 m.

Laura fait l’achat de l’orphelinat où elle a grandi trente ans plus tôt.  Son projet à elle et à son époux, en faire un lieu d’accueil pour enfants handicapés, prend une tournure fantastique quand leur fils Simon se met à développer des comportements étranges.

Un bon film. JFC

 

L’ITALIEN de Andrei Kravchuk, Fédération de Russie, 2005, 93 m.

Le petit Vania, six ans, est en attente d’un jugement d’adoption. Ses parents adoptants seront italiens. Mais il en a décidé autrement.

Un bon film. JFC

 

LES CHORISTES de Christophe Barratier, France/Suisse, 2004, 95 m

En 1949, la rééducation douce et dure d’adolescents qui trouveront leur fierté à travers une chorale.

Un bon film. JFC

 

HOLY LOLA de Bertrand Tavernier, France 2004, 128 m

Le parcours dit « du combattant » de Géraldine, Pierre et d’autres compatriotes français qui tentent d’adopter un enfant en s’installant dans un hôtel du Cambodge

Un bon film. JFC

 

ALIZAOUA, PRINCE DE LA RUE, de Nabil Ayouch, France – Maroc – Belgique, 2000, 100 m

Lorsqu’un enfant des rues de Casablanca est tué par un jet de pierres, ses amis décident de l’enterrer comme un prince.

Un bon film JFC

 

LA VIERGE DES TUEURS (Our Lady of the Assassins) de Barbet Schroeder, Colombie-France, 2000, 98 m.

À Madelin, un écrivain désabusé s’éprend d’un jeune de la rue employé comme tueur à gages pour les cartels de la drogue.

Un bon film. JFC

 

SALAAM BOMBAY de Mira Nair, Inde, 1995, 113 m

Chassé de sa famille, un jeune garçon se débrouille pour survivre dans le quartier des prostituées de Bombay.

Un bon film. JFC

 

LA HAINE de Mathieu Kassovitz, France, 1995, 95 m.

En banlieue de Paris, un jeune juif et deux de ses amis promènent leur désœuvrement dans les rues, toujours prêts à l’affrontement.

Un film remarquable. JFC

 

LOVE-MOI de Marcel Simard, Québec, 1991, 97 m.

Un dramaturge découvre la triste réalité de six jeunes délinquants en travaillant avec eux à la mise sur pied d’une pièce de théâtre.

Un bon film. JFC

 

LE PETIT CRIMINEL de Jacques Doillon, France, 1990, 97 m.

Un jeune policier s’attache à un gamin qui a fui sa famille en volant de l’argent et un pistolet.

Un très bon film. JFC

 

KORCZAK de Andrzej Wajda, Pologne, 1989, 113 m

En 1939, le directeur d’un orphelinat pour enfants juifs doit faire face à de nombreuses difficultés lorsque les Allemands envahissent le pays.

 

LA PETITE VOLEUSE de Claude Miller, France, 1988, 110 m.

Une adolescente mal dans sa peau quitte sa famille pour mener une vie libre qui la conduit en maison de redressement.

Un très bon film. JFC

 

DE BRUIT ET DE FUREUR de Jean-Claude Brisseau, France, 1987, 95 m.

Un adolescent livré à lui-même s’attache à un caïd de son lycée qui l’initie à la violence des rues.

Un bon film. JFC

 

HORS-LA-LOI de Robin Davis, France, 1985, 108 m.

Une bande d’adolescents s’enfuit du centre de redressement et tente de rejoindre un village abandonné pour s’y installer.

 

LE THÉ AU HAREM D’ARCHIMÈDE de Mehdi Charef, France, 1985, 110 m

L’amitié de deux adolescents dont l’un est d’origine nord-africaine, dans un quartier pauvre de Paris.

Un bon film. JFC

 

PIXOTE de Hector Babenco, Brésil, 1980, 125 m.

Les tribulations d’un gamin sans foyer, évadé d’une institution pour mineurs et qui a formé une petite bande de voleurs.

Un bon film. JFC

 

L’ÉNIGME DE KASPAR HAUSER de Werner Herzog, Allemagne, 1974, 110 mi.

Le film retrace la vie et la mort de Kaspar Hauser, un enfant trouvé du début du XIXe siècle, en Allemagne.

Un film remarquable. JFC

 

L’ENFANT SAUVAGE de Francois Truffaut, France, 1970, 83 m.

Après avoir été capturé par des paysans, un enfant sauvage  est amené au Docteur Itard sur Paris.

Un film remarquable. JFC

 

L’ENFANCE NUE de Maurice Pialat, France, 1968, 90 m.

Un enfant difficile, confié à l’Assistance publique, est placé chez un jeune ménage.


LES QUATRE CENTS COUPS de François Truffaut, France, 1959, 93 m.

Un enfant incompris est envoyé dans une maison de redressement d’où il s’évade.

Un chef d'oeuvre. JFC

 

CHIENS PERDUS SANS COLLIER de Jean Delannoy, France, 1955, 113 m.

À travers trois cas séparés de mineurs délinquants, l’action d’un juge qui veut comprendre et aider.

 

LOS OLVIDADOS de Luis Buñuel, Mexique, 1950, 89 m

Des enfants abandonnés dans la banlieue de Mexico s’organisent en bandes pour survivre.

Un film remarquable. JFC

 

SCIUSCIA de Vittorio de Sica, Italie, 1946, 90 m

Deux petits cireurs de bottes rêvent d’un cheval blanc et sont compromis dans un vol.

 

LA CAGE AUX ROSSIGNOLS de Jean Dréville, France, 1944, 90 m

Par sa patience et son amour de la musique, un pion fait merveille auprès de jeunes délinquants.

 

LE CARREFOUR DES ENFANTS PERDUS de Léo Joannon, France, 1943, 110 m

Trois anciens pensionnaires des maisons de correction tentent de créer un centre destiné à éviter la délinquance juvénile.

 

LES ANGES AUX FIGURES SALES (Angels With Dirty Faces) de Michael Curtiz, USA, 1938, 97m

Un gangster et un pasteur tentent de rééduquer les voyous du quartier.

 

BOYS TOWN de Norman Taurog, USA, 1938, 90 m

Un prêtre décide de s’occuper des jeunes abandonnés et fait construire un grand établissement qu’il organise comme une cité.

 

THE KID de Charles Chaplin, USA, 1921, 68 m

Un clochard sympathique adopte un enfant abandonné par sa mère.

Un chef d'oeuvre. JFC

 

 

L'ENFANCE, LE DÉVELOPPEMENT, LA SCOLARISATION, L'ÉDUCATION, LA SOCIALISATION

 

WHIPLASH de Damien Chazelle. États-Unis, 2014, 117 m.

Stress total avec ce thriller musical sur les dents avec un jeune musicien coincé entre son désir et son prof tortionnaire. Des raccourcis au scénario, mais un divertissement pétant de santé où le jazz se joue comme à l’armée

Un bon film. JFC

 

JO POUR JONATHAN de Maxime Giroux, Québec, 2010, 80 m.

La complicité de deux frères mésadaptés à leur banlieue glauque

Un bon film. JFC

 

ETRE ET AVOIR de Nicolas Philibert, France, 2002, 104 m.

Une année scolaire avec un instituteur et sa calsse d'éleve. THE documentaire...

Un film remarquable. JFC

 

ÇA COMMENCE AUJOURD’HUI de Bertrand Tavernier, France, 1999, 119 m.

Un enseignant français en « zone prioritaire » et les adolescents à qui il enseigne.

Un très bon film. JFC

 

 

FERROVIPATHES (TRAINSPOTTING) de Danny Boyle, 1995, 94 m.

Les hauts et les bas d'un jeune héroinomane d'Édindinbourg et de son groupe d'amis

Un très bon film. JFC

 

AU REVOIR LES ENFANTS de Louis Malle, France, 1987,104m.

Durant l'hiver 1943, dans une France occupée, Julien a 12 ans et il est pensionnaire au petit collège Saint Jean de la Croix,

Un film remarquable JFC

 

LA LUNA de Bernardo Bertolucci, Italie & États-Unis, 1979, 142 m.

À Rome, le fils d’une cantatrice newyorkaise entretient des relations troubles avec la vie, la drogue, le passé et le présent.

Un bon film JFC

 

L'ARGENT DE POCHE de Francois Truffaut, France, 1976, 104 m.

La vie des enfants de la ville de Thiers à la fin de l'année scolaire nous fait découvrir les bonheurs, tracas, peines et misères du quotidien

Un bon film JFC

 

 

L'ENFANCE, L'IMAGINAIRE, LES BLESSURES, LES FANTOMES, LES TRAUMATISMES, LES DROITS

 

LES DÉMONS de Philippe Lesage, Québec, 2015, 115 m.

Une histoire de peurs d’enfance dans un environnement lisse, mais réellement traumatisant. Bonhomme 7 heures ou danger véritable? Avec un traitement sonore et une écriture cinématographique hors-normes qui tiennent brillamment compte du point de vue de la pensée pré-abstraite des enfants, par ailleurs tous magnifiquement incarnés.

Un très bon film. JFC

 

LE FILS DE SAUL de Laszlo Nemes, Hongrie, 2015, 107 m.

Parmi les cadavres des chambres à gaz, un prisonnier juif hongrois forcé à travailler pour les nazis croit reconnaitre son fils. L’enfer de Dante sur terre qui présente la filiation sociale comme une issue sémantique à l’horreur.

Un film remarquable, Grand prix du jury, Cannes 2015. JFC

 

SPOTLIGHT de Thomas McCarthy, États-Unis, 2015, 128 m.

Une équipe de journaliste d’investigation enquête sur des actes de pédophilie commis par l’Église catholique de Boston. Bien qu’indirectement centré sur les victimes, le film vaut pour la force de son interprétation et de convictions des adultes défenseurs des droits humains.

Un bon film JFC

 

CHORUS de Francois Delisle, Québec, 2015, 137m.

Le traumatisme de parents dont le fils s'est fait violenté et assassiné par un pédophile et leurs vies d'après qui n'arrivent pas à se refonder.

Un bon film JFC

 

LA GRANDE BEAUTÉ / LA GRANDE BELEZZA de Paolo Sorrentino, Italie, 2013, 142 m.

Le souvenir d'un amour de jeunesse viendra-il délivrer l'existence d'un écrivain romain de sa terrifiante et splendide vacuité?

Un film remarquable JFC

 

LA CHASSE de Thomas Vinterberg, Suède, 2012, 111 m.

Les dires d’une petite fille mettent en péril la réputation d’un éducateur et ses rapports avec l’ensemble de sa communauté.

Un très bon film JFC

 

L’HISTOIRE DE PI de Ang Lee, Etats-Unis 2012, 125 m

Le jeune Pi Patel, seul survivant humain d’un naufrage, dérive en mer en compagnie d’un tigre. Un adaptation onirique du roman de Yann Martel.

Un bon film. JFC

 

POLISSE de Maiwenn, France, 2011, 127m.

À Paris, des policiers de la brigade de protection des mineurs la luttent contre les abus et les sévices commis sur des enfants : pédophilie, maltraitance, dérive sexuelle et ainsi de suite. Prix du jury, Cannes 2011

Un très bon film. JFC

 

HUGO de Martin Scorcese, États-Unis 2011, 122 min

Exploité par son oncle qui en a la garde depuis la mort de son père horloger, un enfant vit dans une gare où il fera la rencontre d’un curieux vendeur de jouets qui s’avèrera être un personnage fondateur du septième art.

Un très bon film JFC

 

WINTER'S BONE de Debra Granik, États-Unis 2010, 100 m.

Dans les monts des Ozarks au Missouri, une jeune fille de 17 ans veille à la survie de sa fratrie et de sa mère invalide dans une contrée bardée de criminels.

Un très bon film. JFC

 

ÉLÈVE LIBRE de Joachim Lafosse, France & Belgique, 2008, 105 m.

Jonas, 16 ans, se retrouve en situation d’échec scolaire. Un trentenaire mystérieux s’offre pour l’aider dans ses devoirs, au départ dans ses devoirs scolaires…

Un très bon film. JFC.

 

L’ENFANT de Jean-Pierre Dardenne et Luc Dardenne, Belgique, 2005, 95 m.

Le fils de Bruno et Sonia devient une valeur marchande.

Un très bon film. JFC.

 

ELEPHANT de Gus Van Sant, États-Unis, 2003, 81 m.

Un bain de sang dans une école de l’Oregon. Par deux étudiants sans histoire…

Un film remarquable JFC.

 

LA CHAMBRE DU FILS de Nanni Moretti Italie, 2001, 139 m.

Giovanni est psychanalyste. Un dimanche, alors qu’il est appelé en urgence par un patient. Il ne peut aller courir avec son fils, comme il le lui avait proposé. Andrea part plonger avec ses amis, mais il ne reviendra pas...

Un très bon film. JFC

 

HAPPINESS (Le bonheur) de Todd Solondz, États-Unis, 1998, 134 m.

Au coeur d'une bourgeoisie bien-pensante du New Jersey, es enfants confrontés à l’horreur suprême…

Un film remarquable. JFC

 

DE BEAUX LENDEMAINS  (The Sweet Hereafter) d’Atom Egoyan, Canada, 1997, 112m.

Le deuil d’enfants, comme jamais filmé ailleurs. Avec l’autobus jaune en plus.

Un film remarquable. JFC

 

 

LÉOLO de Jean-Claude Lauzon, Québec, 1992, 107m.

À Montréal, Léo Lauzon vit au sein d'une famille dysfonctionnelle à laquelle il échappe partiellement grave à ses rêveries.

Un bon film. JFC

 

TOTO LE HÉROS de Jaco Van Dormael, Belgique, 1991, 91 m.

Un film sur l’identité et la rancœur du point de vue de l'enfance

Un très bon film. JFC

 

 

FANNY ET ALEXANDRE d’Ingmar Bergman, Suède, 1982,190 m.

Fanny et Alexandre sont les enfants d'un directeur de théâtre qui meurt subitement. Leur mère épouse ensuite un évêque austère dont la femme et les enfants sont morts dans des circonstances nébuleuses.

Un film remarquable. JFC

 

GARDE À VUE de Claude Miller, France,1981, 85 m.

On ne peut imaginer plus fascinant assemblage de « monstres ». Garde à vue s’amorce sur un air de boite à musique, la nuit magique du nouvel an, alors que l’inspecteur Gallien a sollicité la présence de maitre Martinaud, principal témoin dans l’autopsie du meurtre de deux fillettes. Le face à face se corsant, le notaire devient suspect. Le policier a de l’instinct, l’autre une saveur fourbe. Pécheur et anguille, ils atteindront des sommets. Un jeu sans repos du dominé au dominant. Un huis clos au verbe mordant où Ventura, acharné, dans son rôle le plus impeccable arrache ce qui reste d’ironie et de mensonge à un Serrault plus ambigu et merveilleux que jamais. Je mentirais pour eux. (Adapté de JF Chicoine, Séquences no 106, octobre 1981)

Un bon film. JFC

 

CRIA CUERVOS de Carlos Saura, 1976, 107 m.

Dans le Madrid des années 1970 , Ana, 8 ans, a été témoin de la mort de ses parents : son père mort dans les bras de sa maîtresse et sa mère, partie dans d'atroces souffrances, faute d'être aimée. (Wikipedia)

Un film remarquable. JFC

 

 

L' ENFANCE, LA MALADIE, LA DIFFÉRENCE, LES INTOLÉRANCES, LA RÉSILIENCE

 

GABRIELLE de Louise Archambault, Québec, 2013, 103 m

Une jeune fille charismatique atteinte d’un syndrome de William s’amourache d’un jeune handicapé intellectuel qui est l’un de ses compagnons de chorale.

Un bon film. JFC

 

LES BETES DU SUD SAUVAGE  de Benh Zeitlin, États-Unis, 2012, 92 min

La résilience d’une fillette de 6 ans élevée par un père alcoolique dans une zone perdue des bayous louisianais.

Un bon film. JFC

 

INTIMIDATION (BULLY) de Lee Hirsch, États-Unis, 2011, 100m

Un documentaire tout en proximité sur les coulisses de l'intimidation scolaire dans les écoles du centre des États-Unis

Un bon documentaire.JFC

 

IL FAUT QU'ON PARLE DE KEVIN de Lynne Ramsay, Grande-Bretagne, 2011, 112 m

L'adaptation du meme livre autour d'un garcon souffrant d'un trouble de l'attachement évitant, de sa mère qui tente de comprendre l'absurde, des drames ...et du Drame.

Un très bon film. JFC

 

MA VIE EN ROSE  d’Alain Berliner, Belgique, 1997, 88 m.

Ludovic, 7 ans, est persuadé d’être une petite fille.

Un bon film. JFC

 

QUI EST GILBERT GRAPE/ WHAT’S EATING GILBERT GRAPE de Lasse Hallstrom, Etats-Unis, 1993, 116 m.

Des personnages excentriques dans une Amérique profonde filmée avec tendresse et où Gilbert, Ellen et Amy doivent veiller sur le comportement déviant de leur frère Arnie.

Un bon film. JFC

 

L'ENFANCE, L'ADOLESCENCE, LA PARENTALITÉ, LES FAMILLES

 

FORCE MAJEURE de Ruben Östlun, Suède, 2014, 120 m.

Ce joyau suédois, cruel, mordant, drôle est une révélation. À la suite d’une avalanche dans une station de ski cossue, le comportement d’un père de famille n’est pas celui que sa femme et ses enfants attendaient. À travers une succession d’images splendides scandées comme une symphonie, le réalisateur nous sert une fable morale et vitriolique sur le couple, la place du père dans la famille, sur le bonding et les mines antipersonnel du passé et qui se tissent, en bégayant, au présent. Franchement, ce morceau de bravoure est incontournable. Inoubliable. Ah! La place du père...

Un très bon film. JFC

 

BOYHOOD (JEUNESSE) De Richard Linklater, États-Unis, 2014, 162 minutes

Au Texas, Mason, sa sœur ainée, sa mère, son père et tout un écosystème de parents et d’amis grandissent tandis qu’une douzaine d’années passe et l’ultime finalité de la vie transfuge : la plénitude de l’instant présent, de l’ici et maintenant. Avec un mot sur Bowlby, quelle merveille!

Un film remarquable

JFC

 

 

TEL PÈRE, TEL FILS / SOSHITE CHICHI NI NARU de Hirokazu Kore-eda, Japon, 2013, 120 m.

Deux couples apprennent que leur fils de 6 ans est le fils des autres, né le même jour dans le même hôpital.  S’en suit  tous les cas de figures autour de la parentalité génétique et sociale et une réflexion profonde sur les liens d’attachement, sur la maternalité et, tout spécialement, sur la paternalité.

Un très bon film. JFC

 

LA MERDITUDE DES CHOSES de Felix Van Groeningen, Belgique, 2009, 108 m.

Gunther habite dans une famille marginale où il est fait figure d’enfant parentifié jusqu’à ce qu’une travailleuse sociale perturbe la dynamique en place. Plus tard père d’un enfant non désiré, Gunther pourra-t-il  casser le lot de sa lourde descendance affective?

Un très bon film. JFC

 

HOME d’Ursula Meier, France, Suisse & Belgique, 2008, 137 m.

Dans le milieu de nulle part, une famille pas ordinaire vit des jours heureux sur le bord d’une autoroute jusqu’à ce que…

Un très bon film. JFC


GAZ BAR BLUES de Louis Belanger, Québec, 2003, 115 m.
Monsieur Brochu opère un petit débit d'essence dans un quartier populaire de Québec. Le peu d'intérêt des garçons à poursuivre l'affaire, la maladie de Parkinson et la concurrence des multinationales menacent l’avenir du petit commerce.

Un bon film. JFC


THE SNAPPER de Stephen Frears, Grande-Bretagne, 1993, 91m.

Au début des années 90 en Irlande, Sharon Curley, vingt ans, vit avec sa famille bruyante, mais unie dans un quartier populaire. Elle annonce sa grossesse, mais refuse obstinément de révéler le nom du père. La famille s'accommode assez bien de la situation jusqu'à ce que la rumeur attribue la paternité du bébé à venir à un voisin d'âge mûr, marié et père d'une bonne amie de Sharon. (Wikipedia)

Un bon film. JFC

 

RAINING STONES (UNE PLUIE DE PIERRES) de Ken Loach, Grande-Bretagne, 1993, 91 m.

Bob vit avec sa femme et sa fille dans une banlieue misérable de Manchester. Il se débrouille du mieux qu’il peut pour vivre dans la Grande-Bretagne des années Thatcher. Il tient par-dessus tout à acheter une robe de communion neuve pour sa fille.

Un très bon film. JFC

 

 

 

AMARCORD de Federico Fellini, Italie,1973, 78 m.

Titta, un gamin à l'œil vif, s'échappe souvent de la pétaudière familiale pour aller rôder dans les rues et découvrir le monde. Il rencontre de drôles de gens : un colporteur mythomane, un accordéoniste aveugle, une buraliste à la poitrine accueillante, une religieuse naine, etc. (Wikipedia)

Un chef d'oeuvre. JFC

 

MON ONCLE ANTOINE de Claude Jutra, Québec, 1971, 110 m.

Gérant du magasin, l’oncle Antoine, avec son humour et ses gorgées de gin , anime les lieux sous l’œil intéressé de son neveu Benoît (15 ans), qui est orphelin et qui vit chez son oncle.

Un film remarquable. JFC

 

 

ESSAIS

 

ANTIMANUEL D’ADOLESCENCE de Michel Fize

Éditeur : Éditions de l'Homme : 15 juin 2010

ISBN :9782761925785

 

 

 

L’adolescence nous est souvent présentée comme un temps de tumultes, d’opposition, de mal-être et de souffrances. Drogué, suicidaire, anorexique, révolté, déprimé, l’adolescent serait tout ou partie de cela. Or, bien que ce soit vrai quelques fois, la plupart des adolescents vivent bien, voire très bien cette période de leur vie. L’auteur dénonce la vision sombre et pessimiste trop souvent véhiculée au sujet de cet âge dit « ingrat ». Qui sont donc réellement les adolescents ? Que veulent-ils ? Qu’attendent-ils de nous, les adultes ? Voilà les éléments sur lesquels cet ouvrage apporte un éclairage nouveau. Ce livre remet en cause nombre d’idées reçues, notamment au sujet de cette « crise » d’adolescence qui effraie tant de parents. Et si c’était plutôt nous, les adultes, qui vivions difficilement ce rapport à la jeunesse? Ne sommes-nous pas les plus démunis par rapport aux changements observés chez l’adolescent? Grâce à son ton incisif et légèrement provocateur, l’auteur renverse notre perspective sur la question adolescente et nous amène à voir que oui, les adolescents heureux existent et qu’il est tout à fait possible d’entretenir des rapports harmonieux avec eux.

Sociologue au CNRS, spécialiste des questions de l'adolescence, de la jeunesse et de la famille, Michel Fize a publié plusieurs ouvrages et écrit de nombreux articles. Il participe régulièrement à des émissions de radio et de télévision en Europe.

Les Éditions de L’homme, 2010

 

LA CAUSE DES ENFANTS de Françoise Dolto

Éditions Robert Laffont, Paris 1985 / Pocket, réédition 2003

 

 

Jamais, peut-être, n'avait-on parlé d'une façon aussi belle et aussi juste de l'enfant. De sa vérité, de son désir. Au risque de choquer. Confrontée à un collectif d'enquête sur de multiples sujets - la représentation de l'enfant dans l'Histoire, sa place dans notre société, l'accueil à la naissance, l'école - Françoise Dolto, à travers son propre passé, son expérience de psychanalyste d'enfants, de mère de famille aussi, réagit. A sa manière habituelle, énonçant des vérités parfois difficiles à entendre, défendant jusqu'au bout la cause des enfants contre une éducation qui pervertit par excès de protection, contre le culte de la norme unique, la soumission aux modes du jour, l'imposition du modèle parental. Toutes ses réponses, toutes ses solutions sont guidées par une seule idée : en respectant l'enfant, on respecte l'être humain.

Pocket, réédition 2003

 

GUIDES PRATIQUES ET ÉDUCATIFS

 

ADOS : MODE D’EMPLOI : nouvelle édition revue et augmentée de Michel Delagrave

Éditions du CHU Ste-Justine, Montréal, QC, 2005, 176 pages

ISBN 2-89619-016-3

 

Ados : mode d'emploi

 

L'adolescence est une étape de croissance importante, accélérée, au cours de laquelle le jeune apprend à se passer de plus en plus de ses parents. Devant ce désir croissant d'indépendance et face aux choix de l'adolescent, les parents développent facilement un sentiment d'impuissance. La première partie du livre présente les grandes étapes de développement de l'adolescence ainsi que les principaux défis que le jeune doit relever. Elle donne aussi plusieurs pistes pour aider les parents à ne pas faire de cette étape de développement de leur jeune une "maladie de parents". La seconde partie, propre à la nouvelle édition, s'adresse aux parents en perte d'autorité qui, on doit le reconnaître, sont de plus en plus nombreux. On y propose plusieurs éléments concrets pour aider ces parents à retouver leur autorité et procurer ainsi une vie familiale saine à tous les membres de la famille.

Éditions du CHU Ste-Justine, 2005

 

PARENTS D’ADOS : DE LA TOLÉRANCE NÉCESSAIRE À LA NÉCESSITÉ D’INTERVENIR de Céline Boisvert

Éditions du CHU Ste-Justine, Montréal, QC, 2003, 216 pages

ISBN 2-922770-69-9

 

Parents d'ados

 

L'adolescence... un mot qui fait frémir d'inquiétude bien des parents ! Biien que la majorité des parents et des jeunes traversent cette étape sans grande difficulté, il demeure qu'être parent d'un adolescent suscite des émotions souvent intenses. C'est qu'à l'adolescence, une multitude de transformations affectent le corps, la pensée, les relations et l'humeur des adolescents. Une véritable métamorphose ! Cet ouvrage veut apporter des réponses à ces questions. Il traite, dans un premier chapitre, des diverses composantes de cette étape de développement. Par la suite, il examine, en autant de chapitres, les trois grands champs de transformations (celles du corps, celles des relations interpersonnelles et celles de la pensée) qui contribuent à définir une nouvelle identité. Enfin, les problèmes de santé mentale sont abordés afin d'aider les parents à départager chez leur enfant le comportement normal du comportement pathologique.

Éditions du CHU Ste-Justine, 2003

 

POINTS FORTS. LES MOMENTS ESSENTIELS DU DEVELOPPEMENT DE VOTRE ENFANT

Le Livre de poche, 606 pages, 1999

ISBN : 2-253-08198-1

 

 

On ne présente plus T. Berry Brazelton, célèbre pédiatre dont les ouvrages ont aidé des générations de parents à mieux comprendre leurs enfants. Points forts est le fruit de quarante années de pratique et de recherche. T. B. Brazelton y retrace pour nous les grands moments du développement de l'enfant, de la vie prénatale jusqu'à trois ans. Il aborde également les principaux problèmes auxquels peuvent être confrontés parents et enfants dans les six premières années l'énurésie, les troubles du sommeil, l'hyperactivité, la rivalité entre frères et sœurs, les allergies ; ainsi que les grandes crises que les enfants sont amenés à traverser : la naissance d'un bébé, les premières séparations avec l'entrée à la crèche ou à l'école, le divorce... Avec compétence, franchise et bon sens, T. B. Brazelton nous guide sur la voie escarpée du métier de parents.

 

Dernière révision : novembre 2015

 

 

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